Lucien Bodard : la vallée des roses 6/10
2005 décembre 5
J’oubliais cet autre roman de Lucien Bodard, qui raconte l’ascension d’une mandchoue dénommée Yi qui parvient à devenir la femme de l’empereur Hieng Fong, à la fin de la dynastie des Qing.
Encore un livre sur une femme très très peu fréquentable, mais la description des machinations de cour et de l’érotisme chinois m’a semblée bien meilleure que celle de José Frèches.
2 Réponses Leave One →
eh bien à vrai dire je n’ai pas pu lire ce roman jusqu’au bout bien que l’histoire de yi, de son ambition et tous ces stratagèmes élaborés pour atteindre son but m’aient vraiment passioné, à cause de la longue très très longue parti où l’auteur décrit l’avancée de l’armée ennemie en terre de chine, les horreurs qu’ils comettent…. Mais je trouve qd mm que ça illustre très bien le pouvoir de la séduction de la femme et toutes les machinations impensable mises en place dans une cour impérial ou royal… très instrucrtif et révélateur
Je viens de finir le livre de Lucien Bodard, cela faisait longtemps que je n’avais pas lu cet auteur. Au moins 5 ans et bien tout me revient son imagination fertile, ses descriptions baroques à souhait. On ne sort pas toujours indemme d’un de ses livres. C’est noir, c’est glauque, parfois à la limite de l’nsoutenable. Mais l’ascension de cette femme est magnifique, la description des colons anglais et français dans leur dérisoire désir de suprématie est pathétique et illustre bien les valeurs du monde occidentale.