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Matthieu Ricard / Plaidoyer pour le bonheur 7/10

2005 décembre 5
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Posted by florent

Un excellent bouquin que je mentionne dans trois messages sur la méditation

Tout au long du livre on baigne dans ce doux regard sur les choses que nous donne le bouddhisme, et dans cette possibilité de trouver la paix intérieure en se libérant graduellement de l’illusion de la permanence et du moi.

Une confrontation intéressante est déroulée, entre la psychologie traditionnelle (guérir les blessures de son passé pour être heureux?) et les nouvelles formes de sciences cognitives (étude positive ; basée sur la perception dans l’instant).

Un grand danger : c’est si simple quand on lit le livre qu’on en oublie les décennies de cheminement de Matthieu Ricard pour en arriver là…

 

2 Réponses Leave One →
  1. Guyma permalien
    février 7, 2006

    J’espère que tu peux faire aisément le ménage sur cet espace!
    J’ai posé sur ton blog ce que nous appellerons la formule de Lacan. Je vais partir de son écriture en caractères simplifiés pour te donner un exemple comparable à ce qui t’a intrigué concernant « xiang ».
    Voici cette formule: 请拒收我赠盖非也 avec le pinyin: qǐng jù shōu wǒ zèng gài fēi yě.
    Pour « zeng », la forme 贈 est celle qu’on obtient en copiant la forme traditionnelle 贈 donnée par le convertisseur à partir du simplifié 赠,mais elle a été transformée dans le passage en machine ( correspondances entre polices ou autres trucs), les points en haut de la partie droite se retrouvent avec une inclinaison différente évasée vers le bas, quant à la partie médiane elle ne reproduit pas la clé “champ” (田) et comprend en fait un trait de plus comme pour le “simplifié”. En résumé: 赠 ® 贈 (par le convertisseur), 贈 ®贈 (par copiage – collage). On peut se faire balader comme ça, pour quelques caractères, entre différentes formes selon les modes simplifié/traditionnel et “imprimerie”/”calligraphie”, et les batteries de polices. Pour le caractère gài dont la forme traditionnelle superpose les éléments “herbe”( 艹), “qù” (去) et “vase” (皿), l’expérience est plus courte: 1/sur le dictionnaire Chinois – Français tu obtiens le sinogramme simplifié 盖 en entrant le pinyin « gai » 2/ tu entres 盖 dans le convertisseur et tu obtiens la forme traditionnelle, mais elle est méconnaissable, illisible en fait, car elle a subi un curieux tassement 3/ il faut en faire un copier-coller sur une page de texte ou dans le dictionnaire Chinois – Chinois pour voir la forme traditionnelle bien formée. Là il s’agit d’un défaut interne au logiciel , banal mais qui peut occuper un moment quelqu’un de pointilleux comme moi.
    Maintenant, il ya encore d’autre phénomènes liés aux plus ou moins grandes capacités des logiciels et à leur systèmes intégrés, j’ai été surpris de voir les deux caractères 性 et 命 transcrits automatiquement en langage unicode, sur le petit texte que j’ai posé sur le forum des traditions taoïstes. A bientôt, je ne voudrais pas encombrer trop!

  2. novembre 1, 2006

    merci..koi kundalin!

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