Shi Tiesheng Fatalité 4/10
Shi tiesheng est né à Pékin en 1951, il a été envoyé aux champs pendant la révolution culturelle. Il est paralysé depuis l’âge de 21 ans et il écrit depuis 1979.
Je n’ai pas beaucoup apprécié ce livre. J’en retiens simplement un pays imaginaire, dans la première nouvelle, une île dans laquelle l’on élève d’étranges poissons. Les descriptions étaient assez prenantes ; l’imagination voyageait. Ou bien, dans la dernière nouvelle (le ditan et moi), cette description d’un parc public que l’auteur fréquente assidûment dans son fauteuil roulant depuis 15 ans.
Mais globalement les réflexions sur la fatalité ne m’ont pas beaucoup inspiré. Voilà.
Alors finissons par un passage du Zhuangzi au chapître 2 , passage très beau sur le thème du destin, qui fait de nous des êtres perpétuellement ouverts :
Or, on suit son propre cœur en ce qu’il a de déjà entier, on le prend pour maître — et qui d’ailleurs se passerait de maître? À quoi bon connaître la modification si le cœur de lui-même, en s’en emparant, la maîtrise? Le sot s’en accommode. Déclarer que son propre cœur n’est pas obstrué, que l’on distingue entre exactitude et erreur, équivaut à prétendre partir aujourd’hui pour Yue afin d’y arriver hier. Cela revient à prendre l’absence pour la présence. Que l’absence soit présence, malgré Yu devenu émanation, nul n’a le pouvoir de le savoir. Dès lors, comment le moi universel pourrait y remédier?
Bonjour,
je fais parti d’une chorale d’une confrérie vinicole.
Nous sommes à la recherche de la partition de cette vieille contine “après matine”.
Avez vous quelques information à ce sujet.
Merci.
Pierre
bonjour
la chanson à boire est plutôt à l’adresse
http://florent.blog.com/1583045/
je n’ai pas la partition mais l’air est facile à apprendre ; c’est un canon ; une fois que vous avez la première voix vous avez toutes les voix.
N’avez vous pas un proche capable de retranscrire la partition ?